Témoignage de David (homme de 70 ans, habitant à Saint-Quay-Portrieux) après 6 séances de massage
Cet article est le fruit de mon retour d’expérience après 6 séances avec David
Introduction
Il y a des rencontres qui ressemblent à une brise marine : légères, apaisantes, mais qui laissent une empreinte profonde.
Celle avec David, 70 ans, en fait partie.
Un homme de mer, un bricoleur passionné, un corps marqué par le travail et les épreuves… et une belle curiosité pour découvrir une nouvelle façon de naviguer : le shiatsu.
Mina : Qu’est-ce qui vous a amené à pousser la porte de Mina Duca Shiatsu ?
David : J’ai des douleurs chroniques dans le dos et les épaules, à cause de mon ancien métier de maçon.
Il y a trois ans, j’ai fait un AVC qui a paralysé mon côté gauche. Grâce à la kiné, j’ai récupéré une bonne partie de mes capacités.
J’ai aussi surmonté un cancer récemment. Les opérations ont laissé des traces : mes bras, mes hanches et mes genoux sont moins mobiles.
Quand je bricole, je me fatigue vite et j’ai du mal à me relever.
J’avais envie de retrouver un peu de souplesse… et surtout, de bien-être.
Mina : Connaissiez-vous le shiatsu avant de venir ?
David : Non, pas vraiment.
Je venais plutôt pour des massages relaxants traditionnels.
Je n’avais jamais osé essayer le shiatsu, je pensais que ce serait trop fort, trop « énergétique ».
Mais en lisant vos articles de blog et les avis sur Google, je me suis dit : pourquoi pas tenter l’expérience ?
Mina : Et alors, comment s’est passée cette première rencontre avec le shiatsu ?
David : Je ne connaissais pas du tout cette pratique, j’avais un peu peur au début.
Mais dès les deux premières séances, j’ai senti le vent tourner.
Les massages du dos et des épaules ont relancé la circulation, j’ai retrouvé de la légèreté et moins de raideurs.
Peu à peu, la douleur s’est apaisée.
Je me sentais plus libre, comme un voilier qui reprend le large.
Après cinq séances, les résultats étaient bien là :
- Douleurs aux genoux : -80%
- Douleurs au dos : -80 %
- Plus de gêne pour me relever
- Mobilité retrouvée dans les bras, les épaules et les mains
- Et je peux bricoler 4 à 5 heures sans être épuisé !
Aujourd’hui, je vois le massage non plus comme un luxe, mais comme une nécessité.
Je continue les séances, parce que je sens une amélioration semaine après semaine.
Le shiatsu m’a appris à écouter mon corps, à respecter mes limites.
Les douleurs reviennent parfois, mais je sais maintenant comment garder le cap — avec légèreté, humour et gratitude.
Mina : Quand le corps retrouve son cap
Observer David au fil des séances, c’était comme voir un bateau reprendre la mer après une longue escale.
Son dos se dénouait, son regard s’éclairait, son souffle s’apaisait.
Chaque séance devenait un voyage entre tension et relâchement, entre rires et silence.
Ces moments d’humanité sont précieux : quand le soin devient un dialogue, quand le toucher devient une écoute.
Épilogue
Entre mes mains et son souffle, entre la terre et la mer, entre douleur et légèreté…
David a retrouvé son équilibre.
Et moi, j’ai eu le bonheur d’accompagner un marin qui, jour après jour, apprend à naviguer autrement — au gré du vent du shiatsu.